OPENING #11 : SILMARILS + MONNEKYN

SILMARILS

Formé en 1989 pour la fête de leur lycée, SILMARILS, c’est d’abord l’histoire d’une amitié sans faille, de celles que l’on retrouve dans les biopics Hollywoodiens romancés.

L’histoire de six potes d’enfance, qui se connaissent depuis l’école primaire et qui commencent à apprendre la musique ensemble. Ils ont alors à peine 15 ans.

Leur premier album est un véritable brûlot mêlant la rage du métal à l’urgence du hip-hop. Il devient rapidement disque d’or et reste dans les charts pendant plus d’un an. La tournée qui l’accompagne est colossale. Pendant 18 mois, ils jouent partout, en France mais aussi en Europe, et dans les plus grands festivals, partageant l’affiche avec AC/DC, Bjork, Public Enemy, Red Hot Chili Peppers, ou encore NTM et Nick Cave.

Car ce qui représente le mieux SILMARILS, c’est la scène. Véritable machine de guerre en live, les six garçons livrent à tous les coups un show surpuissant et maitrisé qui met tout le monde d’accord. Même les plus perplexes repartent sonnés par la puissance de feu et la générosité du gang, emmené par David Salsedo.

Le nouvel album du gang de la banlieue sud est maintenant écrit. Il est selon beaucoup, l’un de leurs meilleurs disques.

Urgent, conscient, politique, mais surtout sincère et à fleur de peau. Il réunit tout ce qui a fait l’ADN de Silmarils : des textes acérés, un flow «reconnaissable entre tous, des riffs incisifs, et des rythmiques lourdes qui empruntent aussi bien au Hip Hop qu’au Rock. Un son et une production en constante évolution, et dans le cas présent, résolument tournés vers… Le présent !

Mais avec ce «truc en plus» qui fait que Silmarils EST Silmarils : une image forte, mais surtout des hymnes qui résistent au temps, (Cours Vite, Va y Avoir du Sport, Tant que Parle l’Economie, et bientôt… Welcome To America). Comme on a pu le voir lors des récentes manifestations dans toute la France, où les refrains-slogans de Silmarils ont encore (malheureusement ?), résonné dans les cortèges.

MONNEKYN

Loin des sentiers battus, MONNEKŸN est un groupe qui a décidé de redonner à la fusion ses lettres de noblesse. Les sept membres ont grandi à l’ombre des modules de skatepark et au son des grands noms californiens du Néo Metal. Le temps ayant fait son effet, le groupe associe les sons de sa jeunesse à des univers plus récents : on y retrouve maintenant un savant mélange de nostalgie du Neo Metal et de la modernité de la Trap.

La création de leur premier album se déroule chez eux, dans le « Sept-Sept », sous la houlette de Cédric du D.N.I Studio (Slipping, Wild Mighty Freaks, Pénitence Onirique…), mais sonne aussi fort et puissant que les grands noms du style. Grosses guitares, une basse omniprésente, une batterie au groove imparable et des samples/scratchs portant fièrement leur héritage en bannière.

Écouter MONNEKŸN, c’est faire un voyage au cœur de soi pour savoir qui nous sommes aujourd’hui. La voix vous emmène dans différentes directions : à la fois Deftones, Limp Bizkit, mais aussi Staind et Nirvana. Une chose est sûre : à la fin de ce voyage, un seul nom reste gravé dans nos oreilles : MONNEKŸN.

Le premier impact s’intitule « Ape Home », un projet qui nous montre qui ils sont. Une signature chez M&O Music et une distribution par Season Of Mist vient mettre en lumière ce groupe, considéré par la presse comme le renouveau et le futur du Metal Français, les comparant aux nouveaux Pleymo ou Enhancer.

L’énergie de leurs prestations scéniques, créées comme de véritables spectacles, regroupe à la fois musiciens et breakers, à l’image des contests de skatepark des années 2000.

Rejoignez la « Simian nation ! »